Bonjour chers investisseurs gagnants !
Voici la newsletter « L’investisseur gagnant » de la semaine. ⤵️
Ce que vous allez apprendre en lisant cette newsletter en entier :
🤬 L’arnaque des CGP (et l’alternative pour vraiment faire fructifier votre patrimoine)
🎭 « Fewer decisions, less emotions » (l’étude à ne pas manquer)
📊 Les secteurs de la classification GICS à la loupe
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🤬 L’arnaque des conseillers financiers
Faites-vous vraiment confiance à votre conseiller pour protéger votre patrimoine ?
Pour 100 000 € investis sur 10 ans, vous pourriez bien perdre plus de 33 000 € en frais « standards ».
Sur 30 ans, c'est plus de 260 000 € que vous payerez à votre CGP. Sans même le savoir.
En effet, les banques et les cabinets de gestion de patrimoine ne fonctionnent pas toujours comme vous le pensez…
Découvrez ce qu'ils vous cachent et quelle alternative transparente et alignée sur vos intérêts, nous vous proposons pour vraiment reprendre le contrôle de votre patrimoine. ⤵️
⚖️ Boire ou investir : il faut choisir
Je sais que beaucoup d'entre vous, tout comme moi, apprécient les études qui révèlent les dessous de nos décisions financières. C'est toujours fascinant de voir comment nos émotions peuvent influencer nos choix.
Aujourd'hui, je vais partager avec vous des données surprenantes sur l'impact de l'investissement émotionnel et pourquoi il est essentiel d'en être conscient pour protéger vos finances. Parce que oui, même les investisseurs qui se considèrent comme expérimentés, se laissent quand même influencer par leurs émotions, au point de compromettre leurs objectifs financiers.
Alors, peut-on réellement séparer l'émotion de la stratégie dans le monde complexe de la Bourse et de l’investissement ? Voici ce que révèle l’étude. ⤵️
1️⃣ Des décisions impulsives
L’étude, menée par MagnifyMoney auprès de 1 116 investisseurs, révèle que 66 % des sondés ont admis avoir pris au moins une décision d'investissement impulsive qu'ils ont regretté par la suite. Ces décisions, bien souvent influencées par des fluctuations soudaines du marché (comme il y a peu) ou des titres alarmants, peuvent entraîner des pertes financières significatives.
Toujours d’après cette étude, les jeunes générations semblent particulièrement vulnérables à ces décisions, avec 85 % des investisseurs de la génération Z (18-24 ans) et 73 % des Millennials (25-40 ans) se trouvant dans cette situation.
2️⃣ Stress, anxiété et trading sous influence
L'anxiété associée à la gestion de ses investissements est une réalité pour beaucoup : 37 % des investisseurs déclarent avoir perdu le sommeil en raison de leurs préoccupations financières, et 30 % ont même pleuré à cause de leurs investissements. Pour ces derniers, les principales raisons incluent la perte d'argent sur les marchés (43 %), un sentiment d’être submergé (36 %) et le fait d'avoir vendu trop tôt (34 %).
Fait surprenant, 32 % des investisseurs ont avoué avoir pris des décisions d’investissement sous l'influence de l'alcool. Ce comportement est particulièrement courant chez les jeunes générations, avec 59 % des membres de la génération Z qui admettent avoir bu avant d’acheter ou de vendre des actions, contre seulement 9 % des Baby Boomers.
3️⃣ Une gestion individuelle plus complexe
Les investisseurs qui gèrent eux-mêmes leurs portefeuilles sont particulièrement touchés par leurs émotions, avec 40 % d'entre eux rapportant des nuits blanches, contre 34 % pour ceux qui confient leur gestion à un conseiller financier.
Ils sont également plus susceptibles de prendre des décisions impulsives — et de les regretter — que ceux qui confient la gestion à un conseiller financier. Parmi ceux qui investissent par eux-mêmes, 71 % ont pris une décision regrettable, contre 59 % de ceux qui adoptent une approche plus détachée.
Ces investisseurs sont également plus enclins à avoir du mal à maîtriser leurs émotions comparé à ceux qui utilisent un conseiller financier. Bien que la plupart des investisseurs — 58 % — reconnaissent que leurs portefeuilles performent mieux lorsque les émotions sont mises de côté, la moitié des investisseurs qui gèrent eux-mêmes leurs comptes admettent avoir du mal à le faire, contre 45 % des investisseurs ayant un conseiller financier.
📊 Finalement, que faire ?
On vient de le voir, investir et gérer ses investissements lorsque l’on est soumis à ses émotions paraît assez compliqué, entre :
🤦♂️ Les regrets liés aux erreurs commises ;
😥 La difficulté à mettre ses émotions de côté ;
💤 Ou encore les conséquences délétères sur la santé (manque de sommeil, etc.)
Alors, comment surmonter « l’investissement émotionnel » ?
1️⃣Étape 1 : la première étape est d’adopter une stratégie long terme. Avec un horizon de placement suffisamment long, vous réduisez l’impact de la volatilité sur votre portefeuille, ce qui vous permet de dormir plus sereinement la nuit quand les marchés chutent fortement du jour au lendemain.
2️⃣ Étape 2 : connaissez votre niveau de tolérance au risque ! Investissez dans les actifs qui correspondent à votre niveau de tolérance au risque et à votre profil d’investisseur, cela vous permettra de minimiser largement votre stress au quotidien.
3️⃣ Étape 3 : comme indiqué dans le sous-titre de cette édition hebdomadaire de ♔ L’investisseur gagnant : « fewer decisions, less emotions ». En conséquence, moins vous vous ferez d’aller-retours sur les marchés financiers, autrement dit, moins vous prendrez de décisions d’investissements, moins, inévitablement, vous impliquerez vos émotions en Bourse. Et pour cela, il existe des méthodes et des stratégies simples à mettre en place.
Si vous souhaitez en apprendre davantage sur la Bourse et l'investissement, retrouvez ma formation 100 % offerte, dans laquelle je vous montre comment investir de manière diversifiée, durable et passive en laissant vos émotions de côté pour vous développer votre patrimoine à long terme. ⤵️
🧑🏫 L’histoire de la Bourse
Pas mal du tout ! Un peu plus de 60 % des votants ont répondu correctement à la question de la semaine dernière : « combien de secteurs sont définis par le système de classification des secteurs (GICS) ? ».
Voici la réponse à la question. ⤵️
📊 11.
➕ Quelques explications supplémentaires
Le Global Industry Classification Standard (GICS) est un système de classification hiérarchique des entreprises, utilisé globalement pour comparer et analyser les performances des entreprises et des industries. Conçu par MSCI et Standard & Poor’s en 1999, il classe les entreprises en quatre niveaux : 11 secteurs, 25 groupes d'industries, 74 industries et 163 sous-industries à l’heure où j’écris ces lignes.
Le GICS est reconnu pour sa flexibilité, sa cohérence mondiale et son rôle central dans la gestion de portefeuille et la création d'indices boursiers, ce qui permet aux investisseurs une diversification et une analyse sectorielle plus fines.
👨🏫 Le quiz de la semaine
Il est fort probable que vous vous soyez déjà posé cette question… ⤵️
💰 Quelle est l'origine du terme « Bourse » pour désigner les marchés financiers ?
1️⃣ Le nom vient de la famille Van der Bursen, dont la maison à Bruges servait de lieu de rencontre pour les commerçants.
2️⃣ Le terme est dérivé de la Bourse du Commerce de Paris, fondée en 1724.
3️⃣ Il provient du mot latin « bursa », qui signifie portefeuille.
ℹ️ Indice
Son origine n’est pas aussi ancienne qu’on ne pourrait le penser.
La réponse dans la prochaine édition de ♔ L’investisseur gagnant !
Vous avez aimé cette newsletter ?
Si vous souhaitez aller plus loin, vous pouvez accéder à ma formation offerte. Apprenez à investir pour protéger votre avenir financier et vous générer des revenus passifs (même si vous débutez) grâce aux bonnes stratégies éprouvées d’investissement.
Prenez soin de vous et de vos investissements.
Je vous dis lundi prochain, 7h15, dans votre boîte mail,
Matthieu