Voici ce que vous allez apprendre avec cette édition de « L’investisseur gagnant ». ⤵️
🖼️ Investir dans l’art : combien ça peut rapporter ?
🎨 Picasso, Basquiat, Warhol… comment intégrer des oeuvres d’art majeures dans votre portefeuille ?
🏗️ Les 5 étapes clés pour bâtir votre patrimoine comme un pro
🛑 Obligations et duration : tout ce que vous devez savoir
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🏗️ 5 étapes pour bâtir un patrimoine à +1 M d'€
Dans cette vidéo, Cyril Renaud, CGP associé chez S’investir Conseil, et moi-même vous expliquons comment structurer vos investissements en 5 étapes clés pour :
🏗️ un patrimoine durable (ça ne se construit pas par hasard) ;
📈 maximiser vos rendements ;
🛡️ tout en sécurisant votre capital sur le long terme,
Grâce aux 5 étages de notre pyramide du patrimoine.
Cliquez sur la vidéo pour découvrir ces 5 étapes. ⤵️
🎨 Investir dans l’art : pourquoi s’y intéresser ?
Longtemps perçu comme un luxe réservé aux initiés, l’art est en train de changer de statut. Ce n’est plus seulement une passion de collectionneur ou un placement d’esthète : c’est aujourd’hui une véritable classe d’actifs, analysée, intégrée et structurée.
L’essor des actifs réels dans les portefeuilles, la recherche de décorrélation face à la volatilité des marchés, et la volonté croissante des investisseurs de donner du sens à leur patrimoine ont profondément transformé la place de l’art dans les stratégies patrimoniales avancées.
➡️ Aujourd’hui, on ne parle plus d’acheter un tableau uniquement « pour embellir un salon ». On parle d’art comme d’un actif à part entière : tangible, potentiellement performant et surtout, structurellement rare.
📈 Un actif tangible avec une vraie valeur économique
L’art est un actif physique et durable, dont la valeur repose sur des critères spécifiques : la notoriété de l’artiste, la rareté de l’œuvre, son état de conservation et sa provenance.
Contrairement à un actif financier classique, il ne génère pas de revenus, mais il n’est pas soumis aux mêmes moteurs de valorisation que les actions ou les obligations (croissance, taux d’intérêt, dividendes, etc.). Sa performance (non garantie) dépend d’un marché distinct, influencé par la demande privée et institutionnelle, les grandes ventes aux enchères et ventes privées, et l’évolution des goûts culturels.
C’est ce qui en fait un actif patrimonial complémentaire, utilisé par certains investisseurs professionnels — family offices, musées, fonds spécialisés — comme outil de diversification à long terme.
📊 Performance : ce que les chiffres nous disent
Depuis les années 2000, l’indice Artprice100© — qui simule un portefeuille d’investissement dans les 100 artistes les plus performants en ventes aux enchères — a progressé de +720 %, contre +323 % pour le S&P 500 et +91 % pour le STOXX Europe 50 sur la même période*.
⚠️ Avertissement :
les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi ;
il s’agit-là d’une comparaison avec le S&P 500 et le STOXX Europe 50, dividendes non réinvestis ;
l’indice Artprice100© est un indice théorique avec un biais rétrospectif important dans sa méthodologie (puisqu'on prend les plus performants qu'a posteriori pour établir la performance de l’indice).
Mais au-delà de ces chiffres, l’intérêt principal de l’art réside dans sa décorrélation : sa valeur ne suit pas celle des marchés financiers traditionnels.
L’art peut donc jouer un rôle stabilisateur dans une allocation patrimoniale, en particulier pour les investisseurs exposés aux marchés cotés. Il ne s’agit pas d’un actif de rendement régulier, mais d’un support de diversification potentiellement performant sur le long terme.
Mais… (et c’est un gros mais) encore faut-il savoir comment y accéder.
🏛️ Les freins historiques à l’investissement dans l’art
L’art « blue chip » (œuvre d’art produite par un artiste reconnu internationalement, dont la valeur est solide, stable et considérée comme un investissement « sûr » dans le marché de l’art) est une classe d’actifs séduisante, mais y accéder reste un véritable casse-tête pour 99 % des investisseurs. Pourquoi ?
🛑 Parce que les tickets d’entrée dans ces œuvres blue-chip sont souvent inaccessibles (plusieurs dizaines de milliers à plusieurs millions d’euros) ;
🛑 Parce que le marché, dont toute une partie est privée, est opaque, avec peu de transparence sur les prix réels ;
🛑 Parce que l'expertise est clé : reconnaître une œuvre sous-cotée demande des années d’expérience ;
🛑 Parce que la revente est complexe, dépendant de réseaux fermés, de galeries, de marchands, de collectionneurs ;
🛑 Et parce que le risque de contrefaçon ou d’erreur d’authenticité n’est pas négligeable, même chez les plus grands.
➡️ Résultat : l’investissement dans l’art blue-chip reste encore aujourd’hui réservé à une élite très informée — family offices, fondations, grandes fortunes, institutions culturelles, etc.
Et c’est pour lever ces barrières que certains acteurs rendant l'art accessibles au grand public ont été créées.
C'est le cas de notre partenaire de la semaine : Matis.
🖼️ Matis : rendre accessible l’investissement dans l’art
(collaboration commerciale)
Matis est une société française fondée par François Carbone et Arnaud Dubois, deux spécialistes de l’investissement et de l’art contemporain, agréée par l’AMF (statut PSFP → Prestataire de Services de Financement Participatif), et spécialisée dans le co-investissement dans des œuvres d’art majeures du XXe siècle.
Le principe est simple : plutôt que d’acheter seul une œuvre à plusieurs centaines de milliers d’euros, l’investisseur rejoint un club deal structuré, aux côtés d’autres participants, pour acquérir collectivement une œuvre blue chip signée Picasso, Warhol, Basquiat, etc.
🎯 À partir de 20 000 €, l’investisseur devient indirectement copropriétaire de l’œuvre via une obligation convertible, émise par une holding dédiée.
L’avantage ? Vous n’avez rien à gérer, car Matis s’occupe de tout. ⤵️
✅ Matis sélectionne les œuvres avec un comité de spécialistes ;
✅ Assure toutes les démarches logistiques et juridiques ;
✅ Et se charge de la revente, à horizon 1 à 3 ans et pouvant aller jusqu’à 5 ans, quand le bon moment se présente.
👉 Découvrir l’investissement dans l’art avec les clubs deals de Matis.
📈 Un track record prometteur dans un cadre rigoureux
L’un des éléments distinctifs observés dans les projets menés par Matis concerne la vitesse d’exécution. Alors que l’horizon cible communiqué est d’environ 2 ans, et pouvant aller jusqu’à 5 ans, plusieurs œuvres ont été revendues en moins de huit mois. Cette rotation plus courte permet d’amplifier mécaniquement le taux de rentabilité interne (TRI*) annualisé lorsqu’une plus-value (non garantie) est réalisée.
📌 Au 12 juin 2025, la société affiche les statistiques suivantes sur ses opérations clôturées :
Durée moyenne des projets : 8,1 mois
Performance nette moyenne** pour l’investisseur : 14,45 %
TRI annualisé* net de frais : 36,84 %
⚠️ Avertissement : les performances passées ne préjugent pas des performances futures. L’investissement dans des actifs non cotés présente un risque de perte partielle ou totale du capital investi.
L’art reste un actif non coté, sans revenu récurrent, avec une liquidité différée jusqu’à la revente. Ici, on ne parle pas de rendement mensuel ou annuel, mais de stratégie « événementielle » : il faut attendre le bon moment pour sortir, parfois en 6 mois, parfois en 24 mois (et pouvant aller jusqu’à 5 ans).
🧭 La place pour l’art dans une stratégie patrimoniale ?
Dans une construction patrimoniale cohérente, chaque actif a un rôle à jouer. Certains apportent de la liquidité, d’autres de la performance, d’autres encore de la sécurité. L’art, lui, coche plusieurs cases… mais dans une temporalité et une logique différentes.
Il ne s’agit pas d’un actif de rendement, ni d’un produit à rotation rapide. L’art n’est pas un outil de pilotage de court terme. C’est une brique patrimoniale à intégrer dans la partie haute du portefeuille, là où l’on place ce qui a de la valeur, du temps et du sens.
Concrètement, l’art trouve sa place dans une poche :
📊 de diversification : sa faible corrélation avec les marchés financiers en fait un stabilisateur efficace, surtout en période de stress économique ;
👨👩👦 de transmission : une œuvre peut se transmettre, s’inscrire dans une stratégie successorale, ou être intégrée dans des montages juridiques (donation, démembrement, société patrimoniale) ;
🖼️ de sens : l’art porte une charge symbolique, culturelle, historique. Investir dans une œuvre, c’est aussi s’inscrire dans une vision plus large du patrimoine.
C’est un actif :
✅ Tangible, donc rassurant, visible, stockable ;
✅ Structurellement rare, donc susceptible d’appréciation à long terme ;
✅ Transmissible, donc mobilisable dans des stratégies familiales de long terme.
Enfin, l’art est un actif non coté, ce qui lui confère une certaine « discrétion ». Il ne s’affiche pas sur un relevé de compte, ne se valorise pas chaque semaine, et n’amplifie pas la volatilité de votre patrimoine visible.
🧑🏫 Investir dans l’art : pour qui ? et pour quoi faire ?
L’art n’est pas un placement « grand public ». Il exige une vraie compréhension du marché, un regard long terme et une acceptation d’une certaine illiquidité. Pendant longtemps, cela l’a cantonné à un cercle restreint : collectionneurs, grands patrimoines, family offices.
Mais aujourd’hui, des solutions comme Matis permettent de rendre cet univers accessible en s’adressant aux investisseurs :
⚠️ qui ont déjà mis en place des stratégies solides avec des piliers comme la Bourse et l'immobilier, avant de s'attaquer à des actifs comme l'art ;
⚠️ qui ont déjà des liquidités pour les dépenses à court terme, car l'investissement dans l'art est peu liquide ;
⚠️ qui veulent allouer une poche plus « plaisir », « culturelle », pas forcément autant productive de valeur que d'autres classes d'actifs ;
⚠️ et qui ont un patrimoine assez conséquent pour diversifier dans l'art. L'idée n'est pas d'acheter des parts d'un seul tableau (risque de concentration bien trop élevé).
Toutefois, il convient de rappeler que l’art ne remplace pas les actifs traditionnels. Il les complète, en occupant une poche satellite dans notre patrimoine.
📌 Chez S’investir, on positionne l’art au sommet de la pyramide patrimoniale : là où l’on concentre les actifs alternatifs, à fort potentiel, mais non essentiels à l’équilibre global du portefeuille.
➡️ En résumé : l’investissement dans l’art n’est pas pour tout le monde, mais c’est une vraie opportunité pour ceux qui savent déjà structurer leur patrimoine.
Pour ceux qui souhaitent explorer cette classe d’actifs et bénéficier d’un accès privilégié aux club deals proposés par Matis, la création d’un compte sur leur espace d’investissement en ligne permet de :
✔️ consulter les projets en cours ;
✔️ d’analyser leur potentiel ;
✔️ et de prendre position en toute transparence à partir de 20 000 €.
👉 Co-investir dans l’art via les clubs deals avec Matis dès maintenant.
* Taux de rentabilité interne (TRI) : taux de rentabilité annualisé net de frais, prenant en compte les flux générés sur une période donnée et la valeur de revente finale.
** Performance nette investisseur : montant reversé net de tous frais, brut de fiscalité, après déduction des frais liés à la vente, aux taxes et aux commissions perçues par Matis.
🛑
Duration ≠ durée
Pou rappel, voici la question que je vous posais la semaine dernière : « Qu'est-ce que la « duration » dans le contexte des obligations et pourquoi est-ce important pour les investisseurs ? »
Voici la bonne réponse. ⤵️
📊 La duration mesure la sensibilité de la valeur d'une obligation aux fluctuations des taux d'intérêt. Plus la duration est élevée, plus la valeur de l'obligation sera sensible aux variations des taux.
ℹ️ Quelques explications supplémentaires
La duration mesure la sensibilité du prix d'une obligation aux variations des taux d'intérêt. En d’autres termes, elle indique combien de temps il vous faudra pour récupérer votre investissement initial, en tenant compte des paiements futurs (intérêts et remboursement du capital).
🫵 Pourquoi est-ce important pour vous ?
Plus la duration est élevée, plus l’obligation est sensible aux variations des taux d’intérêt. Les obligations à long terme perdent plus de valeur lorsque les taux augmentent, tandis que celles à court terme sont moins affectées.
Donc comprendre la duration permet de gérer le risque de taux et d’ajuster votre stratégie pour protéger votre portefeuille contre les fluctuations des taux.
👨🏫 Le quiz de la semaine
🤝 Quel est l'objectif principal du pacte Dutreil ?
1️⃣ Réduire les base taxable de succession de 75 % sur les parts de l’entreprise transmises.
2️⃣ Accroître les rendements pour les actionnaires de manière significative.
3️⃣ Simplifier la gestion de l’entreprise et ses opérations fiscales.
La réponse dans la prochaine édition de ♔ L’investisseur gagnant !
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Prenez soin de vous et de vos investissements.
Je vous dis lundi prochain, 7h15, dans votre boîte mail,
Matthieu